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Bonjour Victoria, merci de nous accueillir Chez June, pour commencer peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, ravie que vous soyez à l’appartement. Je m’appelle Victoria, j’ai 32 ans et si je devais me définir en quelques mots, je dirais : entrepreneur, déterminée et prof de yoga Chez June.
Nous avons découvert ton fascinant parcours dans le beau livre DétonNantes, il est plein de belles leçons, peux-tu le raconter aux internautes qui nous lisent ?
Bien sûr ! Il ne commence pas forcément par un événement très joyeux. A 25 ans j’ai plongé dans une piscine dans laquelle il n’y avait pas assez de fond. Je me suis cassée une cervicale en sautant, et ma moelle épinière a été compressée. Ça m’a immédiatement paralysée et je suis devenue tétraplégique incomplète. Suite à ça, il y a eu des opérations, puis 3 semaines en réanimation, et 7 mois en centre de rééducation pour récupérer la majorité de mes capacités. Ce n’était pas gagné au début parce qu’il n’était pas dit que je remarcherai un jour après cet accident. Je suis donc passée par plusieurs étapes : le fauteuil roulant à moteur, car je n’avais pas de force dans les bras, puis le fauteuil roulant classique, le déambulateur, les béquilles, ensuite la canne, et aujourd’hui je n’ai plus rien. Je me rends compte que c’est finalement aller assez vite.
Ça n’a pas dû être évident, que s’est-il passé par la suite ?
Je suis ensuite retournée travailler. A l’époque j’exerçais le métier de Cheffe de projet communication sur Paris. Je suis donc retournée dans la vie Parisienne quelques mois seulement après ma rééducation, tout en ayant encore besoin de beaucoup de soins. J’avais des rendez-vous chez le kiné, 2 à 3 fois par semaine. Pour reformer ma masse musculaire je devais aller à la salle de sports également 2 à 3 fois par semaine. Enfin, pour ce qui est de la reconstruction mentale, j’avais des rendez-vous chez le psychologue. C’était nécessaire pour accepter l’idée qu’à 25 ans je n’avais plus les mêmes capacités physiques que 7 mois auparavant, mais aussi pour parvenir à vivre avec un corps qui ne fonctionne pas de la même manière. J’avais donc au total au moins 10 heures par semaine qui étaient consacrées à ces séances nécessaires à ma reconstruction. Finalement, ces séances plus le boulot, plus les transports en commun à Paris faisaient que je perdais énormément de temps.
C’est donc à ce moment-là que je me suis dit que j’aimerais bien avoir un endroit dans lequel je pourrais prendre soin de moi et qui regrouperait tous les soins et activités dont j’ai besoin. L’idéal serait un lieu qui ne soit pas un commerce pignon sur rue, mais quelque chose d’un peu plus confidentiel, cocooning et surtout dans lequel on se sente à l’aise. Car la priorité pour moi est de se sentir bien pour pouvoir ensuite travailler.
Comment en es-tu arrivée à pratiquer le yoga ?
J’ai découvert le yoga au moment où je suis rentrée à Paris. Je n’en faisais pas du tout et je me suis rendu-compte que ça avait énormément de bienfaits sur mon corps. A l’époque et encore maintenant je dois faire un travail sur mes muscles profonds qui ont disparu avec l’accident. Je dois aussi travailler mon équilibre, la proprioception, que j’avais également perdue et sur l’étirement des muscles. Le yoga a la capacité d’agir sur ces aspects. En plus il bénéficie d’une dimension mentale et aide à lâcher prise, ce qui m’a beaucoup aidé à m’approprier mon nouveau corps, à l’accepter et à voir de quoi il était capable.
Avec une pratique assez régulière, les bienfaits et les améliorations se voient assez vite, ce qui était super encourageant. Ça m’a beaucoup boosté d’un point de vue mental et par rapport à l’humeur dans laquelle je me trouvais à ce moment-là. Donc le yoga plus l’envie de trouver un endroit qui regrouperait plusieurs activités autour du bien-être, ça a fait mûrir cette idée de Chez June.
Justement dis-nous, comment est né le projet Chez June ?
A l’époque, j’avais fait le tours de mon boulot et je me suis dit qu’il fallait que je me lance dans ce projet. Mais avant tout de chose je devais maîtriser au moins une des disciplines que j’allais proposer. Je me suis évidemment tournée vers le yoga car je voulais mêler l’obligatoire pour ma santé, à l’agréable, car j’ai toujours été très sportive. Grâce au yoga j’ai retrouvé la sensation de dépassement de soi, parce que finalement le yoga on en fait un peu ce qu’on veut. Si un jour on veut que ce soit challengeant, ça le sera et si un autre, on veut qu’il soit plus détente c’est possible aussi. Cette envie de me professionnaliser m’a permis de trouver un sens à mon orientation professionnelle qui stagnait à ce moment de ma vie.
Pour mieux travailler ce projet, j’ai décidé de partir à l’étranger, non seulement pour me former à devenir prof de yoga mais également pour aller voir ce qu’il se passait ailleurs au niveau de ce sport. Parce qu’il y a 5 ans en France, cette pratique n’était pas encore trop développée et notamment en Province. L’Australie m’a toujours beaucoup attirée et je savais que là-bas le yoga était complètement inclus dans leur mode de vie. Beaucoup de personnes avaient à la fois un métier classique et étaient en parallèle prof de yoga.
Je suis donc partie en 2017. J’ai commencé par l’Inde où j’ai réalisé une première formation intensive pendant 1 mois, pour devenir prof de yoga. Puis j’ai décidé d’en refaire une par la suite car la première ne m’a pas suffi. Par la suite, je suis partie en Australie, où j’ai travaillé gratuitement dans plusieurs studios de yoga en échange de cours. Cela m’a permis de continuer à pratiquer et de voir le fonctionnement des studios là-bas. J’en ai profité pour faire mon business plan, mon benchmark, voir ce que j’aimais et ce que j’avais envie de mettre en place. Au total, je suis partie 10 mois mais avant de rentrer, je suis passée par Bali qui est aussi un gros pôle du yoga où j’ai refait une formation d’un mois.
Que s’est-il passé à ton retour en France ?
Une fois rentrée en France, ma formation était faite tout comme mon business plan. J’ai d’abord donné des cours sur la plage en Bretagne, car je suis bretonne, et qu’il fallait que j’acquière des compétences en tant que professeure. Pendant deux mois, avec l’aide d’une amie, j’ai donc animé des cours de yoga et pilates sur les plages de la Trinité et de Carnac. Les séances étaient ouvertes à tous. Il y avait donc tous les niveaux, tous les styles de corps et de pratiquants. Cette expérience fut très enrichissante. Une à deux fois par semaine je me rendais à Nantes pour chercher des financements et trouver LE lieu. J’ai finalement eu assez de chances car j’ai trouvé les deux assez rapidement. Et un mois après j’ai eu les clés de ce sublime appartement. L’aventure était lancée. Nous avons ouvert trois mois plus tard, en janvier 2019.
On se pose la question, pourquoi Nantes ?
Au départ étant parisienne, je souhaitais réaliser mon projet à Paris. Mais finalement, je me suis rendu-compte qu’il y avait déjà pas mal de studio de yoga. Même s’il n’y avait pas de lieu concept comme Chez June, la concurrence y était plus grande. En plus, financièrement c’était plus compliqué car le prix de la location d’un appartement comme ici de 240m2 à Nantes, est multiplié par 3 à Paris.
Enfin, comme je l’ai dit plus haut, je suis bretonne, plus particulièrement Vannetaise, je souhaitais donc me rapprocher un peu de la Bretagne. J’adore la mer et l’océan et j’aime bien avoir cette proximité avec cette région ainsi que ma famille. Et puis à Nantes, il n’y avait pas grand-chose au niveau yoga à part en association. En réalité, il y a très peu d’endroits où on peut pratiquer le yoga de manière simple, accessible et flexible, dans le sens où le matin si on a envie de faire une séance, on peut s’inscrire dans le cours du midi, s’il reste de la place. Nantes était donc pour moi la perfect place.
Tu voulais vraiment créer un cocon, comme tu l’as dit. C’est vrai que Chez June on se sent vraiment chez soi. Tu nous a fait visiter le studio, on pourra d’ailleurs retrouver la vidéo, mais nous serions curieux de connaître les dessous de cette rénovation.
Ça a commencé par des pleurs. Quand je suis arrivée, l’appartement n’était peut-être pas en mauvais état mais il n’était pas du tout comme vous le voyez là. Je me suis retrouvée avec les clés d’un appartement de 240m2 complètement à redécorer, chose que je n’avais jamais faite de toute ma vie.
J’ai donc appelé ma mère qui a énormément de goût en matière de décoration. Elle m’a conseillé de commencer avec un papier peint et qu’ensuite tout en découlerait. C’est exactement ce qu’il s’est passé. Finalement ça a été hyper naturel, peut-être parce que j’ai infusé dedans depuis enfant, mon père est architecte d’intérieur, mon beau-père est commissaire priseur et ma mère adore chiner. Mais j’avais également pris énormément d’inspiration lors de mon voyage. Les travaux ont duré 3 mois mais l’appartement en lui-même était déjà bien proportionné, notamment au niveau des salles, pour ce que je voulais en faire. Je n’ai rien eu à casser. On a un parquet avec de la marqueterie au sol qui date du 18ème qui est magnifique. J’aime bien cette énergie qu’il y a dans les anciens appartements. Dès que je suis rentrée malgré les murs jaunasses, je m’y suis immédiatement sentie bien, donc ce n’était pas compliqué d’en faire un endroit où les gens s’y sentent à l’aise.
En tout cas, c’est réussi. Est-ce qu’au-delà de ton accident, durant ton enfance, quelque chose aurait pu te guider vers cette recherche du bien être ?
J’ai toujours été très sportive. J’ai pratiqué la gymnastique en compétition pendant 10 ans mais j’ai dû arrêter à 14 ans suite à des problèmes de dos. J’ai très rapidement enchaîné avec un autre sport. Par conséquent, j’ai toujours eu ce côté où j’aime bien me dépasser et me challenger. Chose qui est plus gérable dans la pratique du yoga car c’est un sport plus reposant mentalement que les compétitions de gymnastique. Après j’aime la sensation qu’on a après avoir fait du sport, c’est quelque chose qui m’a toujours nourri et dont j’ai besoin. Après dire que sans l’accident, j’en serai arrivé où j’en suis aujourd’hui, je ne pense pas. Mais le sport et la nourriture saine ont toujours été très présents dans ma vie.
Quel est le concept du studio ?
Le but de l’appartement est de ramener un maximum d’activités bien-être dans le même lieu. L’activité principale est le studio de yoga et pilates. Mais on a aussi de la méditation. L’idée est d’apporter aux gens une flexibilité et une proposition hyper variée de cours. On a actuellement 40 cours par semaine, on est ouvert du samedi au dimanche et nous avons un système de réservation en ligne où les personnes peuvent regarder, s’inscrire, payer, annuler de manière complètement autonome. Pour les différentes pratiques on fournit les tapis ainsi que tout le matériel pour pouvoir venir même si on n’a qu’une heure de disponible dans la journée et qu’on n’ a que son legging sur soi. Et même ça, on en propose sur place, à la vente.
L’objectif est de propager au maximum le yoga sans qu’il n’y ait de contraintes. Car pratiquer le yoga chez soi, ce n’est pas forcément évident. Dès que l’envie se fait ressentir, on vérifie s’il y a un créneau de libre et on peut s’inscrire une heure avant et réaliser notre séance de yoga ou de pilate.
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Concernant les praticiens qui travaillent avec toi, quel est leur rôle ?
Quant aux praticiens, je trouvais cohérent d’amener des thérapeutes de bien-être dans cet espace. C’est du vécu, par rapport à ma rééducation j’ai moi-même eu besoin de plusieurs soignants. Nous ne pratiquons que de la médecine douce : diététicienne, sophrologue, réflexologue plantaire, psychologue, massage, massage du visage, drainage lymphatique et une ostéopathe. Ces activités sont vraiment complémentaires les unes des autres mais également avec le yoga. L’idée était vraiment d’apporter quelque chose en plus à ce lieu et d’avoir des échanges avec des personnes qui sont dans ce même milieu. C’est aussi voir des projets qui naissent et de pouvoir échanger et d’orienter des clients pour un suivi plus global.
En dernier lieu, on a aussi le salon de thé qui était en stand by avec le covid mais où l’on servait des petit-déjeuners, des déjeuners, thé, et café. Aujourd’hui on est plus basé sur le salon de thé, on a fait un partenariat avec une boutique de thé à Nantes. On y sert aussi du café et du kombucha. Les personnes peuvent aussi venir et se poser dans leur journée pour travailler ou entre deux cours. Je voulais vraiment faire de l’appartement un lieu de vie et le salon de thé apporte aussi cela.
Est ce que vous avez des projets futurs pour Chez June ?
Oui, j’aimerais bien développer le concept Chez June dans d’autres villes où le yoga n’est pas encore bien répandu. L’idéal serait de franchiser le concept. Donc s’il y a des personnes intéressées qu’elles n’hésitent pas à me contacter. Ensuite, pendant le Covid, nous avons monté une plateforme de cours de yoga, pilates et méditation en ligne. Notre projet de la rentrée est de d’enrichir cette plateforme qui a été lancée au mois de juin. Il y a déjà plus d’une centaine de vidéos disponibles. Maintenant il reste un gros travail de référencement et de communication dessus.
Enfin, nous avons également développé des retraites. Nous lançons d’ailleurs notre deuxième retraite au mois de septembre, tellement la première s’est super bien passée. On a eu de l’engouement de la part des participantes et ça c’est quelque chose qu’on aimerait continuer. Les deux premières se sont faites en Bretagne, l’idée est d’en faire d’autres soit à l’étranger, soit sous d’autres formats. De manière générale, ce qui est génial dans ce milieu et avec un lieu comme Chez June, c’est qu’il y a 10 millions de choses à faire et de projets à réaliser. Je pense donc qu’il y aura d’autres projets car j’aime bien faire vivre les choses, qu’elles ne soient pas immobiles. Et puis j’écoute les tendances ainsi que les avis de mes clientes et élèves quand elles ont des demandes. Car on grandit aussi grâce à elles.
Est qu’il y a un mantra qui t’anime et qui représenterait bien le studio ?
Oui, le mantra qui m’a guidé depuis le début, c’est une phrase de Nelson Mandela qui dit “Je ne perds jamais, soit je réussis soit j’apprends”. Et cette phrase a eu différentes interprétations et différents buts, tout au long du projet. Quand on a un projet entrepreneur, il faut savoir qu’il y a beaucoup d’échecs, mais c’est vraiment comme ça qu’on apprend. On en sort toujours enrichi et d’ailleurs il vaut mieux faire des erreurs sinon on ne peut pas s’améliorer.
Mais ce mantra est également valable dans la pratique du yoga. C’est ce que j’essaie de faire transparaître à mes élèves, quand elles sont sur leur tapis. Déjà, on ne regarde pas la personne d’à côté, on pratique le yoga pour soi. On peut aussi tomber plusieurs fois mais si on ne fait pas l’erreur, on ne va pas évoluer dans la pratique. C’est aussi ce côté qu’on a Chez June. C’est apporter de la bienveillance, envers nos patientes, clientes ou élèves et sur le cheminement, les pratiques, les envies,… Nous souhaitons les guider sans jugement avec le plus d’humilité possible. Notamment parce que je suis prof de yoga seulement depuis 4-5 ans et qu’on n’a jamais fini d’apprendre. Je suis toujours et serais toujours élève. Mais aussi parce qu’on est dans le non-jugement, si on est là c’est pour se faire du bien. Si se faire du bien c’est juste rester assis sur son tapis sans faire des postures de dingue, c’est déjà top. C’est déjà bien que la personne soit rentrée ici pour prendre du temps pour elle. Ce mantra est donc une phrase très représentative de notre appartement.
Est-ce que tu aurais des conseils pour quelqu’un qui hésite à se lancer ou un débutant qui aurait des appréhensions ?
Alors déjà, il faut arrêter de croire que ne pas être souple est incompatible avec la pratique du yoga. Au contraire, si vous n’êtes pas souple, venez car le yoga permet de s’assouplir. Je pense d’ailleurs que c’est la meilleure méthode pour ça. De plus, comme je le disais, on vient pratiquer pour soi et pas pour se comparer à la voisine. Justement, l’énergie du groupe permet de se laisser porter et de dépasser ses limites. Il faut rester dans le cadre de son tapis et peut-être que votre voisin sur une posture va avoir un peu de mal, mais va maîtriser la suivante alors que vous ce sera l’inverse. Chaque morphologie est différente. Il ne faut donc pas se comparer et oser venir. Il n’y a pas de compétition dans le yoga car on vient pour soi. C’est ce qui est bien dans le yoga, il apaise les fluctuations du mental et enlève les complexes. Le deuxième préjugé, c’est que ce sport est exclusivement féminin. Chez June nous avons deux vestiaires, un pour les femmes et un pour les hommes qui sont de plus en plus nombreux à venir en cette rentrée. Les hommes sont donc plus que bienvenus.
Pour finir, où pouvons-nous vous retrouver ?
L’appartement se situe au 7 Rue des Cadeniers au 2e étage, à Nantes juste derrière la place Graslin et le cours Cambronne. Ensuite, on a conservé des cours en visio. Vous pouvez donc suivre nos cours en direct de chez vous. Sur la plateforme, vous avez également des cours de yoga, pilates, méditation enregistrés que vous pouvez réaliser quand vous le voulez. Nous avons mis plein de filtres pour que vous puissiez choisir le niveau, le temps, le type de yoga, le prof,… et trouver la vidéo qui vous corresponde. On essaye de faire intervenir différents profs de yoga ne venant pas uniquement de la région nantaise pour avoir une grande diversité de types de yoga, qu’on propose sur le site. Le nom de la plateforme est June Chez Vous et est sur l’adresse www.yogachezvous.fr. Vous pouvez aussi nous retrouver sur les réseaux sociaux et nous suivre sur Instagram, Facebook et LinkedIn sous le pseudo Chez June pour l’appartement et June Chez Vous pour la plateforme.
Coup de coeur
Chez June c’est une petite parenthèse d’ailleurs, de bonheur et de bonne humeur ! J’ai eu un véritable coup de cœur pour le studio en poussant la porte de l’appartement. La décoration végétale, l’aménagement et l’ambiance séduisent indéniablement. L’accueil est chaleureux, le lieu apaisant et relaxant propice au bien-être. Je vous recommande d’y passer, ne serait-ce que pour un cours d’essai. Vous ne voudrez plus en repartir.
Charlène
2 Responses
Bonjour, est-ce vraiment une bonne solution pour perdre du poids ? merci pour cet article
Bonjour Bruno, le yoga est une activité physique complète pour le corps et l’esprit. Toutefois, pour perdre du poids, il est aussi essentiel d’adopter une bonne hygiène de vie (alimentation, sommeil, activité régulière,…). Chez June vous pouvez également consulter des praticiens, dont des diététiciens qui vous accompagneront dans votre démarche.
Bonne journée,
Emma des Micronautes